Rando VTT de Savenay

Publié le 28 janvier 2011 par Jeanmimi

Dimanche 23 janvier 2011

Savenay est situé à mi-chemin entre Nantes et St-Nazaire (en Loire-Atlantique).

Rando que certains cadors du VTT "extrème" (pas la majorité), on trouvé je les cite "nulle et chiante", parcours un peu roulant certes, mais très sympa avec de bonnes grimpettes comme j'aime surtout dans le final et du technique abordable.

Et bien comme il en faut pour tous les gouts, j'ai bien aimé la rando de Savenay, la 1ère de l'année où j'ai pris du plaisir à rouler chez nos voisins et amis.

Super organisation du cyclo VTT Savenay et super accueil !

J'ai toujours une préférence à Savenay pour la version hiver que je trouve plus plaisante, plutôt que celle de l'été, qui est trop peuplée à mon gout.
Roulé seulement sur le 36 kms, devant être rentré pour midi (obligations familiales) je n'ai malheureusement pas eu le temps de faire plus long.
J'aurai bien aimé faire le 47 kms...
Ce sera pour la prochaine fois.

Des ravitaillements excellent, un fléchage de pro, des chemins presque sec sous un temps sec et frais = une bonne matinée de VTT.

Aucun souci à part mon attache rapide qui s'est détachée en plein changement de vitesse, il m'en a fallut un temps pour en remettre une nouvelle (trop fébrile ou énervé) merci au pote du club pour le coup de main mécanique.

Vu 2 belles gamelles devant moi, dont un gars aller direct au fossé (plein de boue) et pleins de têtes connues au départ et à l'arrivée.
Enfin, génial la saucisse grillée en plein hiver et la brioche à l'arrivée, ça réchauffe.

Comme à mon habitude, je fini toujours plus fort que je ne commence, il me faut 10 /12 kms pour être bien chaud et avoir de bonnes sensations, je commence doucement au démarrage.
Surement du à l'age ... je n'ai plus l'impulsivité et l'explosivité des jeunes qui attaquent fort dès le départ, mais c'est pas grave, là n'est pas l'essentiel.
C'est de se faire plaisir en roulant dans la nature et de ce coté là pas de souci, je m'éclate et je me marre bien surtout quand sur la fin, je rattrape certains "djeuns" partis comme des flèches en train de tirer la langue dans les derniers kms.